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L’amour passion

Il est parfois des histoires d’amour commençant par des disputes ou pire des ruptures. Nous ne dirons pas que nous allons comparer le navigateur Vivaldi à être aimé... non ! Nous vous rassurons tout de suite, mais disons que depuis que nous l’avons découvert, nous avons bien du mal à nous en passer. Ceci étant posé, oui nous reconnaissons que lors des premières utilisations, c’était plutôt « Merdedouille.... encore planté. Il fait chier ! ». Bref l’amour fou dans toute sa splendeur. De manière générale, il ne nous faut pas longtemps habituellement pour qu’une application qui plante, finisse fissa à la poubelle ; mais là, nous ne savons pas pourquoi, nous avons cherché à aller plus loin et nous ne le regrettons pas.
Pourtant tout avait bien commencé, car il y a toujours un début à tout, comme une fin aussi et on vous raconte....
Il y a quelques mois, au détour d’une recherche sur Wikipédia sur le compositeur Vivaldi, nous étions tombés sur la page d’information du navigateur du même nom. Ainsi nous apprenions que celui-ci avait été fondé par le cocréateur historique et ex-PDG d’Opera Jon Stephenson von Tetzchner. Pas n’importe qui, pensez-donc, c’était l’homme des onglets avant l’heure, qui aujourd’hui en 2016 sont incrustés partout dans les navigateurs web.


Un lien vers le site officiel et nous voilà à télécharger Vivaldi. Soyons clair, il ne s’agit pas ici d’un article publicitaire pour tel ou tel produit, comme on peut en voir partout. Si je n’aime pas, je le dis haut et fort. Donc, si j’aime, j’utilise et je ne demande rien au fabricant pour promotionner son produit. Je n’attends rien de lui. C’est dit, donc nous continuons.....
On dézippe et on installe facile. La preuve en image et en plus cela permet de prendre connaissance de certaines des fonctionnalités proposées par Vivaldi.





Ensuite.... et bien... il plante, il plante, il plante et il continue de planter. Jusqu’au moment où miracle, il fonctionne. Quand je vous disais que l’amour peut être vache au début. Même pire.... mais il s’agit de s’accrocher. Pour quel résultat, allez-vous me dire ? Et bien justement pour quelque chose de différent dans l’affichage avec une rapidité (toute subjective peuvent dirent certains) que nous n’avions pas rencontrée depuis longtemps. Une facilité dans la gestion des onglets où l’interface est colorisée avec la couleur dominante du site visité. Et puis plein de petits plus, comme par exemple un panneau latéral pour gérer les signets, les téléchargements, les notes (manuelles ou copiées depuis des pages visitées), les contacts et des pages web choisies par l’utilisateur. Croyez-moi, quand vous avez commencé à y gouter, vous ne pouvez plus vous en passer.


Un des petits plus que nous apprécions, comme ici, dans la barre Url du navigateur, avec de gauche à droite : le « poids » des fichiers téléchargé et leurs nombres. Cela à l’air de rien mais cela permet de savoir, si vous avez peu de data dans votre forfait, ou vous allez au niveau consommation.

On se retrouve aujourd’hui après plusieurs mois d’utilisation, parfois dans des situations compliquées aussi bien sur un ordinateur de bureau qu’un portable, à apprécier Vivaldi sans aucun soucis. Considéré encore en développement malgré la version numérotée 1.3.551.38 (Stable channel) (64 bits) sous Mac (c’est pour quand le logiciel de courrier électronique intégré ?), l’amour vache s’est transformé en amour passion, nous apportant que des satisfactions à tout point de vue. A vous de le découvrir comme nous !



Par laurent, publié le vendredi 2 septembre 2016
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