Rubrique Développement Durable

Cultures de mort à la campagne

Hier , dans l’article « Agriculteur, pollueur, tueur ? » nous vous parlions des produits chimiques pulvérisés par les agriculteurs sur leurs cultures sans s’occuper des personnes vivant aux abords de celles-ci. Certains on du penser que nous faisions comme on dit une « fixette » contre cette profession. Justement ce n’est pas le cas. Simplement nous défendons une meilleure façon de cultiver sans dommage collatéraux pour les consommateurs mais aussi les habitants de notre Terre.
Dans la continuité de l’article mentionné, on vous propose justement une jolie histoire comme on ne les aime pas. Elle montre que les pesticides et autres produits nocifs touchent là aussi ceux qui les utilisent. On vous plante le décor, pour vous mettre dans l’ambiance.
« Signy, un petit village poitevin sans histoires, entre les vignes du Haut-Poitou et les étendues céréalières du Neuvillois. On y faisait du maraîchage : asperges, choux, poireaux, carottes, courges, melons… Comme partout, Signy a pratiqué l’agriculture intensive, avec grosses machines et bidons de têtes de mort à diluer. DDT, Decis, Gesarol… Trente ans et trop de cancers plus tard, les veuves et les rares cultivateurs qui s’accrochent encore se posent des questions. Pratiques, agriculture raisonnée, circuits courts, bio… Pas hippies ni écolos pour un sou, ces paysans bien de chez nous retissent le fil de leur histoire. » (source Arte Radio)
Et si vous aussi, vous avez envie de réagir, n’hésitez pas, le forum de l’article est là pour vous.



Par laurent, publié le mercredi 2 mars 2016
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